FONCTIONS HOMOG&NES A DEUX INDETERMINEES. Conside>ons une forme biquadratique / = (a, b, c, b', a')(x,yy+ = a (so — aj) O — $y) (a — YJ) (OG — soient I Finvariant du second ordre et D le discriminant — 3)*. Je dis qu'en supposant I < o la forme proposed aura deux ou quatre racines imaginaires, sxiivant que D sera negatif ou positif. On a, en effet, ce qui se verifie tres ais^ment, = ~ [(a— done, 1'hypothese 1 << o exclut le cas ou toutes les racines sent replies, et le lemme pr^cddent suffit pour distinguer Fun de I'autre les deux autres cas seuls possibles ou le nombre des racines ima- ginaires est deux ou quatre. Quelque chose d1 analogue a lieuaussi pour le cinquieme degr^; nous allons I'indiquer, bien que nous n'ayons pas a nous en servir par la suite. Soient sc — yy) (x — 07) (a? — &y), . . . el A 1'invariant qui figure dans •= a(x — ay) (57 D le discriminant, a8 (a nos recherches, savoir on trouvera le signe S se rapportant aux termes qu'on d^duit de celui que nous avons <5crit par les permutations des racines. II s'ensuit que, en. supposant A positif, la forme aura des racines imaginaires, et, comma pre"ce*demment, elle en aura deux ou quatre, suivant que D sera negatif ou positif. subsiste pour la nouvelle equa-